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parti socialiste - Page 2

  • Enquête sur les ressorts du vote FN en milieux populaires

    C'est une note qu'on devrait envoyer à toutes les instances du PS, à tous les candidats aux primaires, qu'on devrait envoyer sur tous les forums où l'on nous serine que Martine, François , Ségolène ou que sais-je sont décidément les meilleurs...

    Cette note, c'est celle publiée par la Fondation Jean-Jaurès et co-écrite par Jérôme Fourquet et Alain Mergier et qui s'interroge sur les ressorts du vote FN dans les classes populaires.

    Ce qu'ils disent? "Alain Mergier et Jérôme Fourquet ont toutefois choisi d’adopter l’hypothèse suivante : entre fin 2010 et début 2011, quelque chose a basculé dans l’opinion et en particulier dans les milieux populaires, et l’effet d’attraction produit par le discours de Marine Le Pen s’explique par un fond commun de représentations structuré par un sentiment général d’« insécurisation ». La tension sociale est réelle, la révolte et la colère sont à leur comble parmi les ouvriers et le sentiment d’injustice gagne du terrain parmi la classe moyenne. Qu’est-ce qui a basculé dans l’opinion ? Une nouvelle évolution vient d’abord parachever le mouvement de décrédibilisation croissante du pouvoir politique. L’idée se répand en effet selon laquelle le pouvoir réel et effectif serait non plus aux mains des politiques mais des marchés financiers, pendant que l’image d’un pouvoir sans partage détenu par l’oligarchie financière et confisqué à la sphère politique s’impose dans les milieux populaires. Le monde politique se trouve ainsi décrédibilisé non plus seulement au titre de son incompétence et de ses abus, mais au titre, désormais, de son impuissance. A cela s’ajoute l’idée d’une « Europe de la contrainte », qui démunit la politique nationale française face à la concurrence internationale."

    L'essai est téléchargeable là.  J'ai bien compté : en recto-verso, vous n'imprimerez que 20 pages ! Alors pour une fois, faites chauffer votre imprimante pour le lire.

    Et une fois que vous l'aurez lu, envoyez-le partout autour de vous, truster les boîtes email du personnel politique socialiste, bougez: le PS ne peut pas laisser les milieux populaires à Marine Le Pen !

  • Montée du FN: quelques données pour comprendre....

    D'abord il y a cela : "Une étude de l'IFOP le démontre : ce sont des actifs entre 24 et 54 ans, souvent issus des catégories populaires qui ont permis au Front national de talonner l'UMP lors du dernier scrutin." C'est encore un article de Philippe Cohen de Marianne 2 : http://www.marianne2.fr/%20http:/www.marianne2.fr/Cantonales-le-FN-a-gagne-des-voix-chez-les-actifs_a204207.html

    Comme le dit très justement Laurent Pinsolle sur son blog dont je ne peux que recommander la lecture journalière, "le vote FN est un vote social" ( et c'est bien le drame, non... Que fait la Gauche pour les prolos?):http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/archive/2011/03/29/le-vote-fn-est-logiquement-un-vote-social.html

    Sur Mediapart, on trouve le travail remarquable de Mathieu Magnaudeix qui permet d'accéder à des données sur la "fracture géographique" de la France... Je vous mets un petit extrait, mais désolée, comme il faut soutenir le développement de ce média qui fait un très très bon travail, je n'irai pas plus loin.L'article est là pour les abonnés: http://www.mediapart.fr/journal/france/280311/ces-fractures-francaises-que-revele-la-percee-du-fn

    Les géographes, sociologues ou urbanistes que Mediapart a interrogés en conviennent, le «retour» du FN, après le «siphonnage» électoral de Nicolas Sarkozy en 2007, est aussi la conséquence de fractures sociales béantes: le chômage, la peur du déclassement des ouvriers et des employés qui représentent toujours la moitié des Français en activité, la précarisation du marché du travail, les angoisses par rapport à la mondialisation.

    C'est aussi le résultat d'un clivage territorial toujours plus marqué entre les grandes villes et une France en perte de vitesse dont il est peu souvent question dans le débat public: celle des zones périurbaines et rurales, de la grande couronne en Ile-de-France, de toutes ces sous-préfectures de province qui déclinent en silence, à coup de fermetures d'usines, de trésoreries, de tribunaux et de services publics."

    Peu de temps avant les élections, un article du journal Marianne révélait qu'un quart des salariés gagnait moins de 750 euros par mois....

    Un rapport parlementaire ou sénatioral récent  fait par un parlementaire de droite soulignait crûment la montée de la montée des inégalités, la pauvreté croissante... (Je retrouverai la référence si un commentaire ne vient pas m'aider...).

    Je passe sous silence le chapelet d'articles que j'ai lu sur des délocalisations, des fermetures d'usines; conjointement, je ne parlerai pas des bonus qui sont repartis à la hausse en même temps que les profits. Je ne parlerai pas de la hausse des marges des distributeurs sur les denrées alimentaires au prétexte de hausse du cours du blé ou autre nourriture pour animaux, par exemple ( voir dernier 60 millions de consommatuers). Je ne parlerai pas de la hausse des prix du gaz, ni de celle à venir de l'électricité ( et je n'évoquerai donc pas la loi NOME contre laquelle, à ma connaissance, la Gauche ne s'est pas élevée et qui est passée, toute discrète toute gentille, sans que quasiment aucun média n'en révèle au grand public ni l'existence ni les effets pervers...). Je n'évoquerai pas le pacte de croissance européen ( au fait, c'est passé??? parce qu'entre les révoltes arabes et la situation au Japon, on a du mal à suivre...) par lequel on a bien compris que ceux qui paieront la crise ne seront pas ceux qui l'ont causée, et que la ceinture, pour serrée, elle sera bien serrée, et que les services publics en prendront un sacré coup ! Et je passe sous silence les deux sublimes coups de mépris par rapport à la décision clairement exprimée du Peuple : le NON majoritaire au TCE transformé par la grâce parlemantaire en OUI au Traité de Lisbonne ( avec le sillence complice des médias); le "manifestez, manisfestez pour les retraites, avec le soutien de la majorité de la population, de toutes les façons on s'en fout..."

    En 2002, quelques instants après l'annonce de la défaite de Jospin, Fabius avait dit: "Il y a un problème d'offre politique"... Je ne le lui faisais pas dire. Mais le PS , qui reste le 1° parti de Gauche ( malheureusement...) n'a toujours  pas usé de son "droit d'inventaire" ni fait son aggiornamento.... Or le populo n'a pas une mémoire de poisson rouge - et ne manque pas d'intelligence : il sait bien que les mesures économiques prônées par le PS n'ont aucune chance, dans un contexte de libre-échange et de contraintes européennes acceptés, d'apporter des améliorations notables...

    Il fallait être sourd, aveugle et mal-comprenant  (ou "indifférent au sort des populations", comme le propose Todd...), pour ne pas avoir vu venir la montée du FN. La ruse consistant à réduire le vote Fn a la montée de la xénophobie ne sert définitivement qu'à refuser encore et toujours que le débat sur la mondialisation libérale, sur le libre-échange et l'Union Européenne et ses contraintes ne soit ouvert. Et si Marine Le Pen continue d'être la seule à poser ces questions (et qu'on me fasse la grâce de ne pas supposer un seul instant que je puisse la soutenir...), à les mettre dans le débat public, tout est possible...

     

  • Le Parti Socialiste saura-t-il mettre, par des propositions crédibles, un coup de frein à l'irrésistible ascension de Marine le Pen?

    J'aimerais bien que le parti Socialiste ne soit pas le parti prééminent à Gauche, mais c'est malheureusement le cas( et il faut compter avec les médias qui torpilleront systématiquement Mélenchon pour qu'il n'en soit pas autrement...).

    Dès lors l'enjeu est simple ( et je le dis aussi pour Pierre R. s'il me lit): si le PS ne propose pas une "régulation" du capitalisme crédible ( donc qui ne passe pas par le fait d'attendre que l'UE soit l'inverse de ce qu'elle est ou qu'un accord international se mette en place), ou dit autrement si le PS ne propose pas des mesures crédibles permettant de sortir du libre-échange, alors le PS sera balayé et Marine Le Pen triomphera... 2002 le retour ! Parce que les gens entendront de ce que dit Marine Le Pen, c'est son discours portant sur la mondialisation et la nécessité d'y mettre un frein.

    Et cela me désespère. Parce que non, Marie, chère commentatrice de ce blog, on ne peut pas voter pour Marine Le Pen. Parce qu'elle n'est que la figure prééminente d'un parti qui lui préexistait, d'une structure qui a une histoire, et que, quand bien même mettrait-elle en avant des thématiques qui semblent séduisantes, on ne peut tout de même pas oublier ce qu'est son parti et les propos nauséabonds que l'on peut y entendre. Dans le programme du Fn, on trouve quand même ça ( la partie économie est en refonte...):

    "- Inscrire dans le préambule de la Constitution le principe de préférence nationale.
    - Inscrire dans le préambule de la Constitution le devoir de mémoire vis-à-vis des civils et militaires morts pour la défense de l’ancien Empire Français, afin de garantir la solidarité de la Nation à tous les Français rapatriés, quelle que soit leur race ou leur religion."

    Oui, je pense qu'il faut mettre en place des formes de protectionnisme, mais certainement pas avec les sous-jacents que porte le protectionnisme façon FN. On peut proposer des formes de protectionnisme coopératif ( voir les émissions faites par moi dans le temps avec Jacques Sapir par exemple, ou Jacques Nikonoff sur la Charte de la Havane).

    Pour moi, le problème est donc de réussir à savoir comment porter le débat sur la fin du libre-échange sur la place publique pour ne pas le laisser à Marine Le Pen. Hakim El Karoui, en son temps, avait dit que celui qui prônerait des formes de protectionnisme emporterait la mise. M. Sarkozy ,en 2007, avait laissé entendre dans des discours écrits pas Henri Guaino qu'il irait dans cette direction ( évidemment, il mentait - ou du moins s'est-il bien servi de la veine gaulliste de Guaino, à l'époque...): les français ne sont pas sourds, ils entendent et espèrent.

    Or, si seule Marine Le Pen fait espérer, les gens voteront pour elle, au-delà même de la prévention qu'ils pourraient avoir contre un parti dont il est évident qu'il est xénophobe - aussi parce qu'ils disjoignent ce qu'est la nature du FN de la personne de Marine LP.Bien sûr, au second tour, il y aura un sursaut républicain... et si Sarkozy est là aussi au deuxième tour, il sera réélu...

    Les positionnements du PS ne me sont pas donc indifférents, même si je ne suis pas soutien de ce parti. Sa tendance à compter pour assurer - croit-il - son succès aux Présidentielles sur un rejet de M. Sarkozy sans prôner de mesures crédibles susceptibles de créer les conditions du plein-emploi, de la réindustrailisation de la France et de politiques progressistes est délétère et fait le lit du FN. En cela, j'ai validité à lui demander raison, comme tout français - et cela ne passera pas par de saugrenues primaires, sorte de Loftstory, bal des égos et des coups bas.

    J'attends donc des réponses du PS sur les moyens qu'il compte mettre en place pour assurer toutes les jolies choses qu'il nous promet ... dans le cadre du Traité de Lisbonne et d'une économie ouverte aux quatre vents propice, dit-on, à "une concurrence libre et non faussée". Chiffres en mains, Traité de Lisbonne en mains !

  • Pascale serait de droite... et ça la contrarie...

    Bah crotte alors !!! Sur la dernière note, le débat s'est engagé dans les commentaires sur le fait de savoir si le clivage gauche-droite était pertinent ou pas... Bon, Pascale, elle, elle pense que c'est un clivage pertinent, juste au moins parce que sentimentalement elle le sent en elle, mais on ne va pas s'étaler sur le sujet....

    Mais....qu'un membre éminent du PS qui a mis un commentaire- ce dont elle est honorée, parce qu'elle sait d'où il parle au PS- laisse entendre que le fait d'être souverainiste ( assimilé dans le commentaire à "nationaliste"...) est un marqueur de droite, ça, ça lui tord les tripes....

    Voui voui voui...."Souverainiste"... c'est vrai qu'on est bien embêté avec ce mot.... n'empêche.... Si "souverainiste" suppose le fait qu'il semble important à la personne qui s'en revendique de soutenir qu'en dernier ressort la souveraineté populaire est l'élément déterminant de la démocratie, je m'en renvendique. Si par souveraineté populaire on entend le fait que le peuple doit être souverain, que toute décision doit donc découler de son pouvoir, je m'en renvendique. Si par cela, on entend que le peuple ne saurait se soumettre au pouvoir d'élites prétendument éclairées, que le débat démocratique doit simplement exister sur toute question et ne pas être confiné à des instances non-élues ( Union européenne, OMC, G20) où prévaut la négociation de type diplomatiq ue, je m'en revendique.  Si être souverainiste, c'est simplement  en fait réclamer ne serait-ce que leséléments primodiaux de la démocratie ( souveraineté du peuple, libération d'un pouvoir oligarchique, logos et agora, autrement dit organisation d'un débat réellement démocratique), alors je suis souverainiste. Si être souverainiste, c'est penser que le cadre d'expression de la démocratie, c'est la Nation, je suis souvenrainiste - mais que ceux qui récusent ce mot m'expliquent les modalités d'organisation d'une démocratie réelle ( qui suppose logos et agora) dans un cadre supra-national, je veux bien apprendre... Souverainiste... et pas nationaliste! Patriote sans doute, même si la notion peut sembler obsolète... Et vraiment pas de droite- même si je puis avoir de l'estime pour certaines personnes de droite...

    Décidément, le PS n'aura donc rien appris de la crise qui a souligné plus que jamais le fait que la mondialisation ( qui est un construit et non un état de nature...) est antinomique avec la démocratie en ce qu'elle a transféré aux puissances d'argent le pouvoir de décision concernant l'organisation économique et sociale des différentes nations, crise qui a souligné aussi  le fait que dès lors la notion de démocratie était de facto obsolète et le restera tant que l'on n'aura pas fait rentrer dans leur lit - par la contrainte réglementaire- ces forces d'argent, et que le seul cadre qui le permettrait est la cadre national ( euh...vous avez vu que l'Union Européenne ou le G20 a pris des mesures de réglementations, vous? Les Etats-Unis, en tant que nation, eux, oui...).

    Le PS se prendra encore une raclée parce qu'il n'est justement pas souverainiste, parce qu'il conchie de facto la démocratie et la souveraineté populaire, parce qu'il croit toujours en un internationalisme mal compris et mal venu qui laisse libre cours aux forces d'argent, parce qu'en cela il obère toute possibilité de politiques de gauche, parce que dans ses positionnements irréalistes il insulte l'intelligence des citoyens qui ont une compréhension des enjeux internationaux plus élevée qu'il ne le pense...

    Et on me dit qu'en votant PS je n'aurai sans doute pas tout ce que je veux, mais que je n'aurai pas ce que je ne veux pas....Mais avec le Ps, j'ai déjà eu tout ce que je ne voulais pas ! L'ouverture du marché des capitaux, Maastricht, le Traité de Lisbonne voté grâce à une modification de la Constitution avalisée de fait par les socialistes, la mise en concurrence des systèmes sociaux et fiscaux permise par l'ouverture des frontières, Lamy en grand prêtre du libre-échange et DSK au FMI, entre autres, entre autres....

    Allez, je vous dis les choses.... C'est parce que je suis de Gauche que je suis souverainiste....ou mieux... c'est pour pouvoir me revendiquer de Gauche et de politiques sociales progressistes que je suis souverainiste. Mais si on me prouve que l'on peut mener des politiques de Gauche - et en particulier LA politique de Gauche qui me semble essentielle, une politique de plein-emploi - d'une part dans une économie ouverte et d'autre part dans le cadre européen tel qu'il est pour de vrai avec les rapports de force qui y existent pour de vrai comme diraient les gosses, je veux bien cesser de l'être. A vos claviers pour me convaincre !

     

     

  • "Une candidate pour la gauche: Martine Aubry" ???

    J'ai reçu dans ma boîte email un appel pour la candidature de Martine Aubry à la présidentielle. Cet appel est là: http://www.martine2012.net/. Oui, je suis bien d'accord, il faut couper court à la zizanie au PS, et Martine Aubry étant Première Secrétaire du PS, pourquoi pas elle... En tous les cas, évidemment elle plutôt que Strauss-Kahn, actuel directeur du FMI...

    Et oui, je suis d'accord avec les initiateurs de cet appel, "c'est sur la question sociale que se jouera 2012".

    Mais quand même... Moi qui ne suis personne, mais ai quand même été destinataire d'un message de l'un des initiateurs de cet appel, j'ai bien envie d'interpeler ceux-ci à mon tour....

    Vous dites: "L’augmentation des salaires et la fixation d’un revenu maximum, la réduction de la durée du travail, l’emploi, le droit à la retraite à 60 ans et à une protection sociale de qualité, de grands services publics pour la santé, l’école, les transports, le logement : tout cela doit être au coeur du  projet des socialistes si nous voulons chasser Sarkozy.

    Et moi je vous dis: "Voui, ça serait bien tout ça, mais on n'est plus au pays des Bisounours ! On ne croit plus à la faisabilité de tout cela, qui serait si bien, dans un pays ouvert aux quatre vents de la concurrence internationale - y compris avec des pays qui n'ont ni droit du travail ni Sécurité Sociale ! Alors nous, ce qu'on vous demande, ce n'est pas de faire des promesses que vous ne pourrez pas tenir, de faire briller nos yeux comme ceux des enfants devant le sapin de Noël alors même que vous savez que les cadeaux, on ne les aura pas! Ce qu'on vous demande, c'est de nous dire quelles régulations à la mondialisation vous comptez mettre en place, ou plus exactement quel coup de frein, par quel biais, et en faisant jouer quels rapports de forces! Inutile de nous dire que les réponses doivent être globales, mises en place d'emblée au niveau international (ou même européen) : nous ne sommes pas nés de la dernière pluie et nous savons que cela veut dire que rien ne sera fait. Et si décidément vous ne pouvez rien, pourquoi voter pour vous?

    C'est parce que vous n'apportez jamais de réponses à ces questions, que vous vous satisfaisez apparemment du diktat des marchés financiers, de la désindustralisation de la France et d'un chômage de masse dont vous vous obstinez à ne pas voir les causes  que vous vous prenez raclées sur raclées aux échéances nationales depuis des années - et que vous construisez votre future raclée de 2012, que Martine Aubry soit candidate ou pas.

    Face à Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen, vous ne pouvez pas vous permettre d'être médiocres. Au travail !".

     

    Hum.... C'est vrai, parfois, je m'énerve.... Mais le coup du sirupeux tout doux, on nous l'avait déjà fait en 2005  dans un CD du PS de promotion du TCE qui déjà était une insulte à l'intelligence des citoyens.... Etre socialiste, c'est a minima espérer en l'intelligence de ses concitoyens, pas leur chanter des berceuses pour gosses !

    Pour mémoire:
    podcast

     

     

  • Valls, Strauss-Kahn et Lamy...

    C'était au tout début de l'affaire Valls et ses 35 heures... J'étais dans ma voiture, j'entends l'affaire, et le fait que le journaliste disait qu'un membre de l'UMP proposait à Valls de rejoindre l'UMP... Bonne idée me disais-je...

    Et ça m'a rappelé une campagne lancée récemment par le M'pep: un appel à exclure Staruss-Kahn et Lamy du PS... C'est là http://www.m-pep.org/spip.php?article1959...

    Si on met en lien cette campagne et la lecture des premiers chapitres du nouveau livre de Chevènement, La France est-elle finie, c'est vrai qu'on peut carrément se poser la question que pose le M'pep...