Hum.... difficile de suivre l'actu entre soleil et pluie.... et puis infos, surtout absence d'infos, enfin de vraies infos, des trucs qui marqueraient la gravité potentielle des choses...
M'enfin bon.... disons que ça sent le roussi... moi, l'éco, ce n'est pas mon domaine, mais je finis par sentir un peu les choses.... Ca sent le roussi, quoi, et les économistes qui pourraient encore proposer des solutions sont toujours ostrasisés dans les médias, ou s'auto-ostracisent.... Je pense à Sapir , Lordon, s'il faut être clair, et pour ceux que je suis vraiment de près - ce qui ne veut pas dire qu'il y en a pas d'autres ( mais je ne les ai pas encore trouvés...).
Bref, si j'étais vous, je lirais le dernier billet de Laurent Pinsolle et son blog "Gaulliste libre" dont je ne peux que vous encourager à privilégier la lecture au mien ( si si !!): c'est là. E tpuis je suivrais Martine Orange de Mediapart ( mais il faut être abonné...): c'est là http://www.mediapart.fr/journal/economie/040811/le-spectre-dun-krach
Bref, moi, je mettrais un peu de sous frais de côté... un peu de patates dans ma baignoire.... Dans C'est dans l'air que je regardais du bord quiet de la mer, un économiste disait que si l'Italie voyait sa note dégradée, à terme c'était le krach des banques européennes ( qui seraient nationalisées tout d'même...). Moi, de tout cela, je ne comprends pas tout, un peu comme tout le monde... et pire, je n'ai pas envie de comprendre.... Pourquoi? Parce que tout est histoire de politique, pas d'économie, et que quand on ne veut pas faire ce qu'il faut, on ne fait pas. Un monde qui tombe, comme dans les années 30 - et on assiste, impuissant...
Bref, je propose la mutualisation des patates ! On en achète par précaution, et sur 10 d'entre elles, on écrit DSEDH ( l'acronyme du titre de l'émission d'AligreFM).Ces 10 là, on les mettra en commun pour aider plus imprévoyant que nous quand ça arrivera. Des "patates solidaires" en somme...
Et pour manger les patates en jouissant malgré tout d'un certain plaisir ( parce que les patates, moi, j'aime pas...), on pourra toujours écouter ce merveilleux passage d'un Lordon d'anthologie, tout en cousant en même temps nos bonnets phrygiens et en aiguisant nos faux....On se fout de nous ! Nous les pauvres, parce que les riches, ils pourront toujours s'en sortir !